C’est dans un contexte de pandémie de la COVID-19 avec la distanciation physique que fut lancé le 16 juillet 2020 une exposition photographique en plein air. Une belle initiative de la ville de Lorraine qui permet d’agrémenter des sentiers de parcs, encourager les arts et permettre aux résidents et visiteurs de visiter cette exposition tout en respectant les mesures dictées par la sécurité publique.
Un beau projet qui s’inscrit également dans les activités pour marquer le 60e anniversaire de la ville. C’est également le lancement d’un concours photographique où les gens pourront soumettre leurs créations et peut-être se voir sélectionné pour l’exposition de l’été 2021.
Donc, pour la première édition, une sélection de mes propres photos sont présentées dans les deux parcs choisis. Aucun thème imposé, à part de présenter des photos de styles et domaines variés pour montrer aux futurs participants les différentes possibilités. Chaque panneau présente donc une technique ou un style différent avec un texte donnant quelques indices et astuces sur la réalisation de chacune. Bien-entendu, cette description demeure très sommaire. Après tout, ce sont les images qui priment sur les panneaux et non pas la théorie !
Voici donc, une visite virtuelle, en photo, de cette exposition. Les panneaux font 30 pouces par 45 pouces. Donc, très grands.
Il est possible de lire les inscriptions présentes sur les panneaux en cliquant sur le chiffre suivant le titre de chaque panneau.
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Les panneaux sur le sentier du parc Lorraine
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Fontaine FONDIA 1On peut donner plus d’ampleur à un sujet, soit en utilisant une perspective très prononcée, comme à gauche, avec une position très basse, soit, en se plaçant très près du sujet, comme à droite, avec un objectif de type macro. Dans les deux cas, les fleurs sont prédominantes, mais la fontaine conserve son aspect majestueux, à gauche, grâce aux lignes fuyantes et, à droite, en créant un mur flou derrière les fleurs. La vitesse lente utilisée à droite représente bien le dynamisme de l’image par le flou des jets d’eau.
FONDIA, éloge d’un art de vivre
La qualité de vie à Lorraine a été reconnue en 1988 par la Fondation pour la défense et l’illustration de l’art de vivre. La fontaine FONDIA souligne cette reconnaissance internationale.
Léolane & Sunny 2Travailler avec des animaux en studio implique certains défis. Trouver les poses, saisir les bons moments et, surtout, obtenir la collaboration des bêtes. Certaines sont plus dociles que d’autres… 3Sunny, un grand python royal, était assez calme. Mais, avec ses 7 pieds de long, il était assez compliqué à manipuler! Somme toute, un excellent modèle tout de même. Et que dire de l’émotivité offerte par Léolane? Un beau moment ! 4Éclairage délicat et suffisamment diffus pour garder assez de contraste, notamment pour rehausser les deux bouches, sans provoquer d’ombres trop marquées.
Focus sur les couleurs (Intro 5Exploiter les couleurs d’une scène pour guider l’œil vers les éléments désirés est une des techniques utiles en photographie. Certaines manipulations peuvent être exécutées en post-traitement, mais on peut tout aussi bien le faire lors de la prise de vue. ) (Bianca 6Le bleu ! Utilisant le chapeau bleu de Bianca, en rappel à ses yeux de même couleur, on met l’accent sur ces derniers. En étant bien encadré par le chapeau et ses franges de cheveux, son œil est encore davantage mis en évidence. Bien que le sujet est globalement déplacé vers la gauche, son œil (le centre d’intérêt) se trouve plus près du centre, toujours pour le mettre en vedette. Une petite ouverture est utilisée, car avec une grande focale et près du sujet, on désire conserver une zone de netteté plus grande. ) (Pâtisserie 7L’utilisation d’un cadrage approprié permet d’isoler une couleur et d’attirer ainsi l’attention sur cet élément. La fraise est décentrée vers le tiers inférieur gauche, et comme l’ensemble de l’image ne comporte pas ou peu de variation de couleurs, l’attention est maintenue sur le fruit. Une grande ouverture de diaphragme fut utilisée afin de mieux séparer le sujet par rapport à son environnement grâce à une profondeur de champ réduite. )
Feux d’artifices 8L’œil perçoit les mouvements dans le temps. Afin de capturer ces mouvements en photo, une vitesse d’obturation plus longue doit être utilisée. Ce choix s’avère particulièrement important lorsqu’il s’agit de photographier le dynamisme de feux d’artifice, leurs couleurs et la superposition d’effets. Pour capter l’envergure des feux, on opte pour un objectif grand-angle, tout en prenant soin d’inclure dans le cadrage des éléments du sol (spectateurs, arbres). Outils importants : un trépied et un déclencheur à distance afin d’éviter tout mouvement de l’appareil étant donné les longues expositions. Ensuite, avec la pratique, on apprend à anticiper les effets.
Fleurs (macro) 9La photographie macro présente ses propres défis. Comme le photographe se trouve très près du sujet, le moindre de ses mouvements anéantit les efforts de mise au point. Le vent et la respiration sont des éléments très contraignants. Pour faciliter le travail, on utilise idéalement un trépied. Sinon, on s’assure d’avoir un très bon appui. Pour plus de précision, on privilégie la mise au point manuelle. Étant donné qu’on se tient vraiment très près du sujet, une petite ouverture (f/8 et moins) est requise afin d’obtenir une plus grande zone de netteté, ce qui exige en retour une plus grande source de lumière, parfois même l’utilisation de lumière artificielle. Pour offrir une échelle, notez que la goutte sur l’image de droite fait moins de 1 mm de diamètre. En se plaçant au niveau de ce petit monde qu’on expose, on découvre des choses insoupçonnées!
Parc d’automne 10Avec un sujet plus éloigné, un grand-angle déforme moins les lignes et permet de capter une plus grande partie de l’environnement. Il faut faire attention à l’angle choisi cependant : la moindre déviation par rapport à l’horizon déformera les éléments, surtout dans le cas de grands arbres comme ici. Mais cela a permis de bien capter la palette des couleurs d’automne de ce parc.
Reflet sur le lac 11Reflet : Méthode consistant à augmenter l’importance d’un élément par sa répétition sous forme d’un reflet. Ici, la ligne d’arbres formant l’horizon, sortant d’un film de brume au matin. Malgré la présence de celle-ci, l’importance du sujet est rehaussée par son reflet sur la surface de l’eau. La présence du soleil l’est également. Pour un meilleur esthétisme, la ligne d’horizon est placée au premier tiers de l’image, ce qui évite de la séparer en deux parties égales.
Deux chevaux 12Belle complicité démontrée dans un moment de tendresse entre deux chevaux. Centrer les sujets leur donne ici plus d’emphase. La symétrie de leur position favorisait également ce type de cadrage. Grâce à la plus grande focale, à une plus grande ouverture ainsi qu’à un contraste de couleurs important, les sujets sont mis en évidence sur le fond uniforme et flou. 13Oui, le bleu est bien la couleur naturelle de son œil !
Flamands roses 14Reflet et contraste de couleurs : Voici un exemple de répétition par reflet, jumelée à l’utilisation du contraste des couleurs pour attirer l’attention sur les flamands roses. L’eau reflète aussi l’environnement très vert, ce qui accentue la séparation des sujets. Ces derniers sont également placés hors axe dans le tiers supérieur droit de l’image, les plaçant en symétrie avec l’étendue d’eau ainsi qu’avec l’îlot de verdure en bas à gauche.
Symétrie et formes 15Être à l’affût des formes qui s’offrent à nous, prendre le temps de regarder et de cadrer une image pour exploiter les formes et les symétries. Ici, une photo de nuit dans les rues de Québec. Les formes similaires et la symétrie aident à provoquer une émotion de lourdeur et de solitude dans un décor gris et urbain. Malgré sa petite dimension, le sujet est mis en valeur par le tuyau qui mimique sa posture, comme un miroir, mais aussi comme une présence imposante. Promis, la modèle n’a pas été abandonnée à cette solitude !
Vue sur Montréal 16Montréal par temps pluvieux. Le noir et blanc met l’accent sur les contrastes et uniformise la ligne formée par les édifices de la ville, tout en conférant à l’ensemble un aspect un peu rétro. La blancheur du caisson en avant-plan attire l’œil, mais cela permet également de mettre en relief la distance entre le point de vue et la ville. Le quai à droite, la rampe du bateau ainsi que la fenêtre de gauche encadrent et orientent le regard.
Spectacle extérieur : Marc Angers 17Lors de spectacles, il est intéressant, quand c’est possible, de se déplacer pour dénicher des angles peu communs. De plus, communiquer avec les artistes en pleine prestation donne en général des résultats très expressifs. Il ne faut pas avoir peur de laisser aller sa propre expressivité pour s’adapter au style et à la performance de l’artiste, briser les règles du cadrage, etc. Merci à M. Angers, bon diable, pour sa grande générosité en offrant cette pose !
Vie de rue au Mexique 18L’objectif? Capter la vie quotidienne, une scène de rue, avec ses couleurs et ses acteurs, de manière non intrusive et naturelle. Et Big Ben (non non, pas l’horloge britannique) avait capté mon attention! Prendre la photo directement de face aidait à démontrer la nature de ce bord de rue avec un mur dominant la voie piétonnière, en plus de rehausser l’agencement de ses couleurs.
Hockey (Guy Lafleur 19Ce n’est pas tous les jours qu’on peut se tenir aussi près de l’action avec des icônes du sport national. C’était durant une activité de collecte de fonds organisée par mon neveu Vincent pour la fondation Les petits trésors, qui offre aide, support et services aux enfants aux prises avec des conditions en santé mentale. )( Chris Nilan 20Près de l’action pour saisir toute la fougue et l’intensité, même en souliers ! Le démon blond est toujours aussi intense… et M. Nilan, bien déterminé! Devinez qui a marqué ?)
Cyclistes 21Bien représenter le dynamisme d’un sport donné consiste à utiliser la perspective idéale.
Dans cet exemple, être placé à ras le sol dans un virage et utiliser un très grand angle a permis de bien situer l’action dans son environnement, tout en mettant le sujet bien en évidence. Un bon défi qui a nécessité beaucoup de précautions, car les cyclistes passaient à moins de 30 cm!
Afin de bien figer l’action, une vitesse rapide fut de mise.
Les panneaux sur le sentier du parc des Chênes
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Bancs glacés 22Le noir et blanc se prête très bien pour montrer les textures. Surtout avec une nature dépourvue de couleur. Ici, un contraste fort est utilisé pour augmenter les écarts de lumière. Un horizon penché augmente l’impression de la scène glissante . Une légère vignette est ajoutée pour attirer encore plus le regard sur les bancs, sûrement peu confortables dans cette condition !
Une ville qui se distingue
Fondée en 1960, Lorraine est reconnue pour son caractère paisible exceptionnel et ses quelques 28 parcs et espaces verts.
OSM en plein air 23La technique dite du bracketing fut utilisée pour réaliser la capture de cette scène
présentant de très grands écarts de luminosité. L’image finale est le fruit de trois durées d’exposition différentes : l’exposition de base de 1/250 sec pour capturer
l’ensemble et surtout l’orchestre; une exposition de 1/1000 sec pour le ciel en arrière-plan et une de 1/125 sec pour la foule en avant-plan. Un monopode a permis de stabiliser l’appareil et la fusion des trois images a été réalisée à l’aide du logiciel Photoshop.
Sentier dans les bois24Le chemin tortueux entraîne le regard à travers l’image vers son point de fuite. Ici, ce point est situé dans un des tiers de l’image pour un esthétisme plus naturel. Il est important de s’assurer que des éléments d’une scène ne mènent pas le regard en dehors de l’image ou n’éloignent pas le regard du sujet principal. Dans cette scène, le boisé au bout du sentier bloque le regard, ce qui retient l’œil à l’intérieur de l’image.
Liens de l’amour (Photo de couple25Les petits gestes sont souvent révélateurs de complicité. On se fait le simple témoin du moment pour en capter tout le naturel et la spontanéité, et on découvre l’amour sincère.Une marche d’amoureux croisant leur chemin.
Le défi des photos de mariage est le contraste élevé entre le blanc d’une robe de mariée et le noir (bleu foncé ici, en fait) de l’habit de l’époux. Il est important de ne pas perdre les détails de la robe, mais par journée de grand soleil, cela peut devenir très difficile. Il importe donc d’éviter de surexposer les hautes lumières.)(Photo du bébé 26Moins de 24 h après sa naissance, bébé Luca reçoit tout l’amour de sa mère, à peine remise de sa nuit de travail ardu. Tous deux épuisés, ils se découvrent un peu plus à chaque instant. C’est un privilège de pouvoir témoigner de ces beaux moments !Le noir et blanc confère un aspect plus intime à l’image et une légère sous-exposition jumelée à la lumière de la fenêtre derrière permet de définir les formes sans les dévoiler entièrement. Il est important de demeurer témoin de l’instant sans s’imposer ni l’influencer pour en capter tout le naturel et la spontanéité. )
Brian Tyler en spectacle27C’est tellement plaisant de capter des artistes en pleine action, surtout leurs interactions avec le public. Souvent, les éclairages sont difficiles à travailler tant par leur intensité variable que par leurs couleurs. Dans bien des cas, le noir et blanc vient alors à la rescousse!
Portraits colorés (Tournesol 28Un flash placé en angle à droite de Mélissa permet de mieux balancer le ciel bleu en arrière-plan, qui aurait été tout blanc autrement. Cette lumière dite artificielle illumine la fleur placée au centre et près du visage, alors que les yeux brillants captent le regard. Avec la grande ouverture utilisée, le sujet principal se démarque bien de l’environnement en arrière-plan. On remarque un soupçon de rayon de soleil sur la bordure du chapeau à droite. Le soleil ainsi placé aide à la séparation des contours avec le fond (épaule et fleur à droite). ) (Adolescents 29Malgré l’espace plus restreint d’un studio, il est toujours possible de capter le dynamisme des jeunes. Avec un fond blanc, les couleurs ressortent et créent la séparation requise avec celui-ci. Quand on photographie un groupe de gens, et surtout pour une pose telle que celle-ci, il est important d’utiliser une petite ouverture de diaphragme afin d’obtenir une zone de netteté suffisante.)
Pommiers en fleurs 30L’utilisation d’un très grand angle à proximité d’un sujet déforme les perspectives et les lignes. Plus on s’éloigne du centre de l’image, plus la déformation sera importante. Dans certains cas, cela peut servir à augmenter l’ampleur d’un sujet, comme ici, où l’arbre paraît majestueux grâce à cet effet. Et les éléments de l’arrière-plan sont « éloignés », offrant moins de distractions.
Scène d’accès à la plage de Playa del Carmen. 31Par la répétition, on augmente l’importance dans la scène d’un sujet, ici les vélos. En utilisant également une grande ouverture, on réduit la profondeur de champs ce qui sépare l’avant plan du reste de la scène. L’espace gris à gauche permet d’augmenter la présence des vélos qui contraste par leur couleur. L’ensemble de la scène reste uniforme point de vue couleur pour éviter de distraire le regard. Les numéros aident à ramener le regard vers l’avant plan (ordre croissant).
Des belles d’époques aux courbes voluptueuses !32Le noir et blanc donne cet aspect d’époque qui sied bien à ces deux belles. Le contraste entre elles permet de bien les séparer l’une de l’autre. Une ouverture plus petite a été utilisée afin d’obtenir une plus grande zone de netteté, englobant les deux sujets. De plus, la direction de la roue en avant plan oriente le regard vers la voiture blanche, ce dont tire profit la perspective choisie.
Patineurs 33Se placer au niveau des sujets, bien que non obligatoire, permet néanmoins de préserver les proportions et les perspectives. Tout en privilégiant une position légèrement plus basse pour donner plus d’importance au sujet, il ne faut se placer ni trop haut ni trop bas par rapport à eux et garder une perspective, comme si nous nous tenions à leur hauteur. 34L’éclairage derrière les patineurs permet de les dégager par rapport au fond et donne davantage de dimension et de profondeur à l’image, tout en révélant les éclats de glace provoqués par les patins. Il faut être patient et attendre le moment où le sujet présente la plus grande amplitude du corps, combinée à la position idéale par rapport à la lumière. Ce n’est pas toujours possible, mais très gratifiant quand notre patience est récompensée. Ici, la patineuse est intentionnellement centrée pour créer une nette séparation entre les côtés sombre et lumineux.
Émotions de la course 35Il faut être attentif à tout ce qui se passe autour de soi lors de la couverture d’un événement sportif. Beaucoup d’action à capter et parfois des petits moments d’intenses émotions ou attendrissants. Il faut être prêt à réagir sans pour autant perdre l’action en cours. Parfois, il est plus important de capter un moment que d’attendre l’image techniquement parfaite.
Lignes directrices (Intro 36L’utilisation d’éléments d’une scène pour diriger le regard vers le sujet peut s’avérer très utile. En prenant le temps d’observer l’environnement, on peut trouver ces aides. Ici, on présente deux exemples de lignes qui orientent le regard. )( La Mariée 37Dans le cas de la mariée sur le sentier, les balustrades forment un point de fuite pointant vers elle. De plus, la luminosité de la robe de mariée attire le regard, en soutien à l’effet des lignes directrices. ) (Portrait de gauche 38Dans le cas du portrait, une autre méthode s’ajoute : l’encadrement. En formant un cadre autour du visage, en appui aux lignes directrices formées par les arêtes implicites des anneaux rouges, on définit encore plus clairement le sujet. )
Les champignons 39La position du tronc fait en sorte que les lignes naturelles de l’écorce créent des lignes directrices vers les champignons. L’utilisation d’une grande ouverture met davantage l’accent sur ces sujets en générant deux effets : la séparation par une petite profondeur de champ et le flou des fougères, qui crée un ensemble de cercles concentriques centrés sur les champignons. Il ne faut pas craindre de chercher les perspectives hors du commun pour découvrir de nouvelles visions d’un sujet. À noter qu’ici, un sujet centré se prêtait mieux à la construction de l’image.
Voici donc pour la visite virtuelle. Il faut noter que ces photos ne rendent pas justice aux agrandissements. Leur simple taille les rend encore plus impressionnantes. Mais les couleurs également sortent encore plus en personne.
Il faut aussi noter qu’étant de grandes impressions sur un support spécial (résistant aux intempéries), le processus utilisé ne permet pas de rendre les couleurs fidèles aux photos originales. Pour les connaissants, il faut convertir en mode de couleur CMYK au lieu de RGB et cette conversion ne permet pas de représenter toutes les couleurs présentent dans les images d’origines malheureusement. Ça prend donc un travail minutieux pour tenter de retrouver une partie de l’effet ainsi perdu.
Alors, laissez moi un commentaire sur votre appréciation de cette visite et surtout si vous êtes passé voir l’exposition en personne.
Portez-vous bien, soyez respectueux des distances et surtout protégez les autres ainsi que vous-mêmes.